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[suite] Ces p'tites pensées qui me font tenir debout. . .

22 Décembre 2017, 19:15pm

Publié par Féli-icie

22/12/17

Chacun peut porter un regard différent sur l’attitude d’autrui face à notre situation de handicap . Une attitude que l’on juge souvent absurde – et ça l’est - ; pour nous, comme pour d’autres, ça s’appelle de discrimination. Souvent lorsque j’aborde la question avec mon entourage, je bondis, je bouillonne (surtout si le lien qui nous uni, est fort) face à leur interprétation qui peut être totalement divergente de la mienne (qui après coup, fini par trouver ses nuances). J’aimerai tant leur faire comprendre la réalité et qu’il approuve. Sauf que c’est ma réalité, notre réalité, pas la sienne.

C’est son droit de penser différemment, et ce, en fonction de son vécu, voire de ses croyances. Alors pour un échange constructif, il est primordial d’accepter la perception de l’autre et de ne pas être sur la défensive ! Il n’y a pas qu’une vérité et chacun peut évoluer dans son interprétation. Si nous tendons vers cela, nous guérissons une partie de nos blessures. Et ça doit marcher sur pleins d'autres sujets. Restons ouverts. Mercis

Et je continue sur ma lancée, plus je cherche à me justifier, à changer le regard d'autrui, plus mon corps s'emballe et mon discours, devient invraisemblable ! Au fond, c'est peut-être cela qui heurte, ou du moins, en partie. . .  

 

23/12/17

C’est drôle, ici, rien ne semble m’émouvoir, m’atteindre, me faire réagir, rien ne semble me faire valser vers une justification « maladive ».  Pourtant ici, il m’est demandé de composer avec les émotions. Elles ne m’appartiennent pas, c’est un  jeu  . Un jeu dans lequel, je me sens si bien ; dans lequel, je prends un malin plaisir à le regarder en face, à lui dérouler toute une scène sans retenue aucune. Je n’ai plus peur, plus peur de cet essieux qui s’emballe au moindre grincement. A L’oublier, la voix est libre ! #théatre 2017-2018#

 

31/12/17

Il y a des jours, des mois, des années interminables où il ne se passe presque rien. Il y a des minutes et des secondes qui contiennent tout un monde." J.D'ormesson

1/01/18

Que la vie vous réserve de jolies surprises ; et que la douceur de vos songes vous conduise vers la plénitude. . . Meilleurs voeux! #on dirait que ça ne se perd pas :p #

 

16/01/18

Si tu stresses, c'est que c'est bon; tu recommence à vibrer à la vie, avec la folle envie de voir tes projets éclosent.; . . 

"Un jour, je m'en irais, sans avoir tout dit." J.D'Ormesson

 

4/02/18

La plénitude ne vient pas en claquant des doigts comme ça, elle se travaille ! En fonction de notre caractère, de notre histoire, le chemin est plus ou moins long. Parfois, on craque, on pleure, on s’agace encore, mais notre nouvelle voix intérieure n’est jamais bien loin pour nous rappeler la direction à prendre, celle qu’on a définitivement décidé d’emprunter. . . (référence à l'article "Parterre à fleurir"

 

7/03/18

Et puis un jour, sans trop savoir pourquoi, t’as le déclic. Tu prends ton courage à deux mains, et tu sors. . . Tu sors de cette foutue zone de confort. Les débuts sont ardus.  De toi, on ne comprend pas grand choses .  Faut dire que ton degrés émotionnel est à son plus haut niveau. Toi seule le sais. Un, deux, voire trois mots parviennent fébrilement à être expulsés de ta cage thoracique. Le temps ne donne pas le temps aux autres de te décoder. Tu t’app’ELLE.  Mais pour une fois, tu t’en fous, ou disons que tu laisses l’instant présent être ce qu’il doit être. T’acceptes. Tu verras plus tard, si ça vaut la peine de  relever ou non. Tu le sentiras. Pour le moment, tu jongles dans ta tête avec tes mots. Quel est celui qui aura plus d’impact ? Quel est celui qui permettra à tes interlocuteurs de saisir au mieux ta pensée ?  Trois, quatre prises de parole et tu ne dépasses pas les six syllabes !  Mais tu te dis que si t’as osé un peu, tu peux oser beaucoup, et au fond, t’aimes ça ! Alors à quand le prochain ? 

Installe-toi dans ce que tu crois être le bord de tes limites, et au fil des expériences, une nouvelle zone de confort se créera, puis encore une  autre, et encore une autre#Ouvre-toi#Merci pour l’inspi
 

10/03/18

Handicap et média = moi, j'dis zéro progrès. Il y a une semaine, Delahousse te fait un sujet : "le handicap, un nouveau phénomène de pub?" Et là ce soir, t'as limite l'impression de lui arracher de la bouche, le récap du jour des jeux para - en deux deux c'était fait -, tandis que les JO étaient quotidiennement et fièrement mis en avant. Et pour couronner le tout, stade 2 lâche : "100 heures de direct pour les J.PARA, ce n'est pas rien!" #Non mais si on vous dérange, dites-le#ARRETONS LE DELIRE#

21/03/18

Accepter d'être ce que nous sommes, être pleinement conscients de nos failles et de nos névroses, et ne pas chercher à lutter; simplement vivre avec, c'est ainsi que nous pouvons garder la tête haute! Parfois, il est de ces choses que l'on se répète souvent, jusqu'au jour où l'on se l'entend dire par quelqu'un, et ça fait juste DU BIEN! Merci.; . .

22/03/18 Au delà d'une multitude d'autres raisons, ne pas juger hâtivement autrui car du jour au lendemain, la relation qui nous lie peut s'éclaircir du tout au tout, et si elle subsiste, ce n'est pas pour rien. . .

24/03/18

Qui est-ce qui ne s’est jamais dit que ce qu'il était en train de faire était une perte de temps, au point de s’en culpabiliser ? J’ai récemment fait l’heureuse constatation, après échanges et lectures, que dans la vie, à partir du moment où nous sommes à l’écoute de nos besoins, et que nous remplaçons le verbe « devoir » par le verbe « choisir », il n’y a pas de perte de temps. Nous sommes les seuls à nous imposer ces barrières. Pourquoi ? Parce qu’en nous culpabilisant de perdre du temps à faire telle ou telle chose, nous allons à l’encontre de notre propre besoin. Hors, si nous l’accomplissons, c’est que nous choisissons de répondre à nos besoins, et que c'est bon pour nous, voire, pour les autres . Après tout est une question de planification et d’acceptation de sortir des codes que la société nous impose. #Choisissons donc ce qui nous rend libres et heureux, et déculpabilisons#

9/04/18

T'auras beau te dire vouloir changer, emprunter le chemin de la sagesse, si ton coeur, lui n'est pas prêt, aucune modification ne pourra voir le jour.; . .

14/04/18

Le lâcher-prise n'est-il tout de même pas le résultat d'un certain contrôle de nous-même? #Réflexiondumoment#discussionouverte#rencontreSavecledévellopementpersonnel#avancercoûtequecoûte#

21/04/18

Ce qui te parait important aujourd'hui, ne le sera pas forcément demain. Ce qui t’obsède aujourd'hui, finira par être occulté. #Enquêtedulacher-prise#Névroses=observation, acceptation, Laisser passer#fairedesesfaiblesseuneforce#toujoursycroire#unangepasse#

22/04/18

Si nous peinons à lâcher-prise, c'est certainement parce-que nous avons peur de perdre le contrôle, ce qui en somme se résulte à la peur d'être simplement bien. Alors pourquoi craindre de se sentir juste bien en accueillant la vie telle qu'elle est, mais aussi en appréciant pleinement nos relations? Pourquoi chercher toujours plus, sans se contenter réellement de ce qui nous ai donné?

27/04/18

Si tu n'essayes pas, tu ne pourras jamais savoir si tu peux ou pas et tu seras enfermé dans tes propres limites, pensant que c'est impossible, impossible de faire autrement et/ou d'aller de l'avant .  #consolle-toitoimême#apprendsàtedépasser#n'aiescraintes#fais-toiconfiance#

30/04/18

Il y a des rencontres sur le fil, qui en l'espace de quelques minutes, peuvent changer le monde, et refaire scintiller l'espoir qui est en vous.; . .  

2/05/18

Je tire sur la dentelle sans pouvoir manier le dé à coudre. . .

NO DATE

As-tu déjà remarqué à quel point, tu peux être attirer par l’inconnu ?  Les regards se croisent et se figent pendant une poignée de secondes, et c’est comme si vous vous étiez déjà rencontré.

Certaines personnes m’émeuvent jusqu’aux entrailles, c’est comme si elles entraient dans mon corps, et qu’elles bousculaient en deux secondes chrono, le calme qu’il l’habitait jusqu’alors. Je suis soudainement une tomate bien mûre, un bègue puissance dix et un fil sur haute tension.

12/06/18

En colère contre ce système d’institutionnalisation d'aides à domicile. Faudrait peut-être arrêter de prendre et de faire prendre les adultes en situation de handicap pour des pigeons. Voilà certainement un autre fond du problème !

18/07/18

En phase avec la CNV. Plus nous reconnaissons nos sentiments agréables, plus nous sommes dans une démarche positive qui ne cesse de s’accroître à mesure de cette prise de conscience.

Il y a trois heures , j’étais dynamique, enjouée, pleine d’entrain, confortable, légèrement préoccupée, tendue.

Il y a une heure, j’étais détachée, assez frustrée,  contrariée, stressée, tendue, perplexe

Maintenant, je suis libérée, soulagée, de nouveau pleine d’entrain et toujours légèrement préoccupée.

Sur une journée, nous pouvons éprouver une  multitude de sentiments tous aussi contradictoires les uns que les autres. Les identifier à chaque moment clé, nous permet la non-fixation de ceux qui sont désagréables, mais l’attachement à ceux qui sont agréables, donc cela nous permet de nous inscrire davantage dans une démarche positive. Je triche un peu, Alexandre Jollien, dans son dernier livre « Petit traité de l’abandon » (que je recommande vivement), nous parle très bien de cette non-fixation aux choses de la vie, qu’elles soient « négatives », ou « positives ».


 

 

28/07/18

:
Comme la société peine à s'adapter, et à nous (personnes handis) ouvrir les bras - sous peine de méconnaissance - , peut-être qu' effectivement, c'est à nous de prendre les devants, de se rendre dans des endroits les moins accessibles, et ainsi, mettre (en douceur) les gens devant le fait à accomplir. Ainsi, plus nous tendrons vers cette démarche, plus nous éveillerons les consciences que nous sommes des citoyens à part entière avec les mêmes droits communs que nos amis valides. Solution pour une société inclusive?
 

24/08/18

"Il n'y a pas d'ombre sans lumière." I love it.
# de quoi rester optimiste
# vis ta vie, toi seul est capable de l'entendre

12/09/18

Dans certains contexte, se détacher de tout sentiments touchant à l'affect, permet indéniablement, de rester dans une communication fluide, ouverte et sereine , donc sans tensions.
# dépendante mais libre
# perséverance
# s'inscrire dans la paix
# si tu l'as fait une fois , tu es capable de le reproduire des milliers de fois
# 9 septembre, 20H02, sacré papier
# mentors extras
# merci la vie. . .

 

17/09/18

"Concentre-toi sur les faits, et non sur l'effet que ça te fait. . . "
# CNV, un long chemin.
# Perséverance
 

24/09/18

Nous aurions tendance à croire que ce sont nos pensées qui déterminent notre attitude et vice versa . Et pourtant, (en plein test), il est complètement possible de dissocier les deux. Plus, nous les dissocierons, plus, nous aurons la possibilité de travailler sur chacune d'entre elles, donc de s'améliorer, et de quitter les travers qui nous bouffent de l'intérieur. Parce-que notre attitude ne fait que renforcer notre rumination.

On dirait que ça bouge là-dedans!
Thanks
 
Plus je fais abstraction de mon corps qui fait des siennes, plus ma voix se libère, et plus le contact d'autrui m'est facile et sans crainte.
 
10/10/18
Le management à des effets positifs à partir du moment où nos demandes sont claires et précises, dites sans une once d'irritabilité; et où nous décidons d'accepter l'autre dans son intégralité, en lui portant une oreille empathique, quoiqu'il arrive, et même si nous estimons que ce n'est pas notre rôle. Ceci étant, nous devons rester centrés sur les missions demandées, et justement peut-être que c'est cela qui permet l'empathie.
# Mais qu'est-ce qui que l'empathie exactement?
# Ca bouge en CNV

 

2/10/18

[.. . ] S’exprimer et tenter de se faire comprendre sur une même chose, n’aura pas forcément le même impact d’un jour à l’autre, et variera selon le contexte, le ton employé, mais également, selon l’état émotionnel des protagonistes. Ausculter notre état émotionnel et celui de notre interlocuteur, semble alors, être une des clés d’une communication réussie. A condition de se donner la peine de se donner le temps de l’introspection.

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